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  Aquesta plana és el "blog" de n'Esteve. Hi trobareu articles, classes, adreces, noticies, documents diversos dels que podreu disposar. En contrapartida, m'agradaria rebre'n els vostres comentaris...

 

 Esta página es el "blog" de Esteve. En ella encontrareis artículos, clases, direcciones, notícias, documentos diversos puestos a vuestra disposición. A cambio, os agradecería que me mandaseis
vuestros comentarios al respecto...

26 juillet 2008 6 26 /07 /juillet /2008 13:42

Tout le mérite de cet article revient aux deux premiers auteurs, Matthieu VILLATTE et David SCHOLIERS. Je n'ai été que l'instigateur et le directeur de recherche (ce qui ne veut absolument pas dire que je m'en désolidarise, bien au contraire! Le choix du mot "instigateur" est parfaitement lucide).
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Le 30 mai 2001, l’assemblée nationale a adopté, en deuxième lecture, le projet de loi About-Picard renforçant la législation contre les sectes. Le texte définitif, comportant de nouvelles mesures qui facilitent la dissolution civile d’organismes condamnés à plusieurs reprises par la justice et qui limitent l’installation et  la publicité des groupements sectaires, étend l’article 313-4 du code pénal réprimant l’« abus frauduleux de l’état d’ignorance ou de la situation de faiblesse » puisqu’il devient également répréhensible s’il concerne un sujet « en état de sujétion psychologique ou physique résultant de l’exercice de pressions graves ou réitérées ou de techniques propres à altérer son jugement pour le conduire à un acte ou à une abstention qui lui est gravement préjudiciable ». Cette reformulation du délit de manipulation mentale, initialement prévu par le projet et adopté en première lecture, est un compromis entre les différentes positions qui se sont affrontées tout au long de l’élaboration du projet de loi. Le texte définitif est en fait rejeté par l’ensemble des représentants des religions monothéistes, par une large partie du monde juridique et par le milieu de la psychiatrie. Pourtant, tous s’accordent à dire que la lutte contre les sectes est d’une importance capitale. On peut se demander ce qui est à l’origine de positions aussi diverses et opposées dans la poursuite d’un but commun. Pour tenter de répondre à cette question, nous présenterons d’abord les origines du projet de la loi About-Picard - en précisant les différentes définitions du concept de manipulation mentale apportées notamment par la psychologie clinicienne française - puis les étapes de son élaboration et les justifications qu’y apportent leurs auteurs ; nous verrons ensuite les réactions du milieu non religieux et la critique formulée par des juristes à l’égard du texte ; les réactions des représentants des religions monothéistes seront également examinées, notamment lors de leur audition devant le sénat ; enfin, à la lumière de l’approche béhavioriste du comportement et de son contrôle, nous proposerons de clarifier ce débat qui semble faussé dès l’origine par une conceptualisation erronée de l’être humain.

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26 juillet 2008 6 26 /07 /juillet /2008 13:36

Il s'agit d'un "conte philosophique" de science fiction ironisant sur les dangers d'une vision antropomorphique de l'Univers. Il fut écrit, à l'origine, en catalan et publié dans l'éphémère revue catalane de divulgation scientifique "(Ciència)"

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  Aqui en trobareu la versio original : Mutatis Mutandis (Contribució al debat sobre la possibilitat de vida extra-terrestre)

 Ahí va la traducción castellana: Mutatis Mutandis (Contribución al debate sobre la posibildad de la vida extraterrestre)



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26 juillet 2008 6 26 /07 /juillet /2008 12:25

Il s'agit d'un "conte philosophique" de science fiction. En fait, c'est mon premier papier, que j'avais écrit, encore étudiant, en hommage à mes collègues du mythique "Laboratori de Conducta" de l'Université Autonome de Barcelone où je me suis formé (en fait, le nom des animaux est le nom des rats sur lesquels nous travaillions à l'époque et le nom des chercheurs est le nom de mes collègues écrits à l'envers). Il parut initiallement dans "Quaderns de Psicología", la revue éditée par le Département de Psychologie, puis dans l'éphémère revue catalane de divulgation scientifique "(Ciència)" et fut choisi, plus tard, pour intégrer une antologie de la science-fiction catalane. Sa publication ultérieure en France par la revue "La Recherche" fut le fruit d'un malentendu. En effet, la revue commença par le refuser. Mais je reçus ensuite une lettre de Jean-Marc Lévy-Leblond (j'ignore comment le papier lui était parvenu, bien qu'il était, à l'époque, responsable d'une collection aux éditions du Seuil et donc, probablement, bien implanté dans le milieu de l'édition parisienne) me disant qu'il avait bien aimé l'article, que La Recherche commettait une erreur en ne le publiant pas et qu'il allait le leur dire. Peu de temps après l'article fut accepté et je reçus une nouvelle lettre de Lévy-Leblond dans laquelle il apparaissait clairement qu'il avait pris mon papier pour une critique contre Skinner et le béhaviorisme, ce qui réjoignait sa position personnelle...
L'origine de ce texte se trouve dans cette bonne vielle blague que tout étudiant de psycho connait par coeur dans laquelle un rat placé dans une "boite de Skinner" dit à un autre: "Tu vois le mec là dehors, avec une blouse blanche et un chrono? Et bien, je l'ai parfaitement conditionné: à chaque fois que j'appui sur ce foutu levier, il me file une boulette de nourriture". Le dessin de Reisser qu'accompagna mon texte (la gloire!!!), bien que n'ayant pas été crée pour l'illustrer, exprime bien la même "philosophie" que celle de mon conte.


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  Versió original catalana : Cabòries (Memòries d'una rata de Skinner)

  Versión castellana : Elucubraciones (Memorias de una rata de laboratorio)

  English translation:  Troubled Meeting. Memoirs of a Skinner's rat.

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26 juillet 2008 6 26 /07 /juillet /2008 11:00

La façon dont a été rédigée la première partie du titre de cet article semble induire la réponse: à rien. Le fait d'avouer, dans sa deuxième partie, que l'auteur de ces réflexions est un béhavioriste, renforce davantage cette idée, car tout un chacun sait parfaitement que les béhavioristes, avec leurs théories extravagantes, prétendent s'inscrire systématiquement en faux et cherchent à persuader le reste des mortels que le noir est blanc et vice-versa. Que le lecteur se rassure tout de suite. Le but de ce travail n'est pas d'essayer de démontrer que les prisons ne servent à rien. Bien au contraire, les prisons jouent un rôle très important dans nos sociétés, mais sans doute radicalement différent de celui que l'on leur prête d'habitude. Nous nous efforcerons, dans les pages qui suivent, d'expliquer pourquoi les prisons ne servent pas, en réalité, à ce que l'opinion publique en général et le monde de la justice en particulier (celui-ci étant censé n'être que le reflet ou l'émanation de celle-là) prétendent  explicitement ou implicitement, mais à d'autres choses bien différentes et même contradictoires. Nous examinerons donc, dans un premier temps, les différentes raisons traditionnellement invoquées pour justifier la condamnation à une peine de prison (nous ne discuterons donc pas de la prison préventive, en attente de jugement, mais seulement de la prison comme condamnation prononcée par une cour d'assises). Dans un deuxième temps, nous évoquerons quelques solutions alternatives à l'emprisonnement, en rappelant, au passage, que les prisons constituent des véritables fabriques de délinquants.

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   Original castellano :
Para qué sirven las cárceles? Opiniones de un psicólogo.


 
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21 juillet 2008 1 21 /07 /juillet /2008 23:27
Se trata de un cuento filosófico de ciencia-ficción denunciando los peligros de las concepciones antropológicas. Fue publicado (en catalán) en la efímera revista (Ciència).

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  Heus aci l'original: Mutatis Mutandis (Contribució al debat sobre la possibilitat de vida extra-terrestre)

  En voici la version française: Mutatis Mutandis (contribution à la possibilité d'une vie extra-terrestre)
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21 juillet 2008 1 21 /07 /juillet /2008 23:16

El título de este artículo es a la vez simple y complejo. Simple, porque no puede ser mas escueto y directo. Compárese sino con : “Propuesta de definición epistemológica del concepto de conducta a través del paradigma conductista radical: implicaciones ontológicas y metodológicas con base a un análisis del lenguaje ordinario dentro del marco del positivismo lógico.” O aún: “Errores categoriales subyacentes a la conceptualización mentalista de la conducta en la psicología contemporánea y su refutación en base al conductismo skinneriano: la contribución de la filosofía anglosajona del lenguaje y del Círculo de Viena al debate sobre el estatus epistemológico de la conducta.” Ambos títulos traducen más o menos, en efecto, el propósito de mi conferencia. Complejo, porque para responder correctamente a tal pregunta implicaría probablemente escribir un libro. Vamos pues a intentar una solución de compromiso que, como todo compromiso, será criticable, pero que nos permita, aunque sea modestamente, elaborar una reflexión crítica de lo que entendemos por conducta.

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  Traduction française : Qu'est-ce que le comportement?

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21 juillet 2008 1 21 /07 /juillet /2008 23:01

La connaissance de soi est un sujet presque aussi ancien que l'humanité et, en tout cas, extrêmement pré­sent déjà dans la civilisation grecque. Le célèbre «connais-toi toi-même» inscrit au fronton du temple de Delphes est arrivé jusqu'à nos jours comme un précepte de profonde sagesse. Il n'est pas trop hasardeux d'affirmer que le but des toutes premières psychologies (ce qu'on pourrait appeler les «protopsychologies» et qui sont, en fait, des philosophies) était d'essayer de remplir cette mission, et il paraît alors logique que l'introspection, comme méthode de tra­vail, ait joui d'une popularité et d'une légitimité sans con­teste. Même autour de 1860, ce qui a été considéré (à tort) comme le début de la psychologie scientifique, c'est-à-dire la psychophysique, n'était qu'une tentative d'objectiver les sensations, autrement dit, un moyen d'améliorer l'intros­pection. Et certaines protopsychologies non encore tom­bées en désuétude (comme la psychanalyse, par exemple) continuent de privilégier cette méthode malgré toutes les critiques qui lui ont été adressées, notamment sur son caractère subjectif. Il fallut donc attendre le vrai début de la psychologie scientifique, c'est-à-dire, l'émergence du béhaviorisme, pour reconsidérer le problème en partant du nouveau point de vue imposé par la définition de la psychologie non plus comme l'étude des sensations mais comme l'étude des comportements. Le «soi-même» de la maxime n'était plus le «soi-même interne», subjectif parce qu'inaccessible à autrui, mais le «soi-même externe», objectif parce que public. Nous allons donc commencer par examiner ce que recouvre l'expression «soi-même», et nous aborderons dans un deuxième temps les problèmes posés par le mot «connaissance».

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  Traducción castellana : El conocimiento de sí mismo desde el punto de vista conductista


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21 juillet 2008 1 21 /07 /juillet /2008 22:44

Il s'agit de ma contribution à un débat que j'avais organisé, il y a quelques années déjà", au sein de notre Laboratoire de Recherche (ECCHAT) autour de la science. Il s'agissait d'en donner une définition, de savoir s'il fallait parler de science (au singulier) ou de sciences (au pluriel), de distinguer "science" de "discipline", de se positionner par rapport à l'opposition classique de "sciences dures" versus "sciences molles"; sciences exactes, sciences de la nature et sciences humaines, de discuter de l'unicité ou de la multipilicité de la méthode expérimentale, de distinguer "méthode", "démarche" et "techniques" ou "outils" ainsi que de discuter des différences entre "recherche fondamentale"et "recherche appliquée" d'une part, recherche en laboratoire et recherche "de terrein" d'autre part.

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21 juillet 2008 1 21 /07 /juillet /2008 22:26

Le béhaviorisme n’a jamais rencontré en France (qui partage cette étrange exception avec l’Argentine, l’autre pays où la psychanalyse jouit d’une position dominante sans précédents: on peut dire que la France et l’Argentine sont à la psychanalyse ce que la Corée du Nord et Cuba sont au communisme…)l’audience dont il bénéficie dans la plupart des pays. Nous avons essayé d’analyser un certain nombre de facteurs responsables de cette situation particulière dans un article déjà ancien (Freixa i Baqué, 1985) et nous n’allons donc pas y revenir ici. Mais, outre les déterminants historiques, culturels et idéologiques avancées dans l’article cité, il nous semble que l’une des raisons principales de ce « rendez-vous manqué » (cf. Caru, 1997) réside dans une longue série de malentendus, malentendus qui s’alimentent, dans un cercle vicieux fatal, de la méconnaissance des positions béhavioristes. En d’autres termes : une fausse idée du béhaviorisme qui le rend inacceptable nous empêche de mieux le connaître et, donc, de nous débarrasser des fausses idées à son égard. Un tel cercle vicieux tend donc à perpétuer cette situation, au point que, de nos jours, se proclamer (s’avouer conviendrait mieux, tellement on vous fait sentir un sentiment de faute, de culpabilité, de honte…) béhavioriste paraît totalement insensé, résolument anachronique, décidément impensable, définitivement rédhibitoire. En effet : comment peut-on être béhavioriste (ou persan) aujourd’hui ?

(Il s'agit d'un article inachevé. L'auteur promet de s'y remettre et de le terminer avant son départ à la retraite...)

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21 juillet 2008 1 21 /07 /juillet /2008 22:15

 Il s'agit, comme le titre l'indique, de l'avant-propos à la version française de "Walden 2: cummunauté expérimentale" retraçant les péripéties et difficultés que la publication en France de ce roman utopique de Skinner a rencontrées.

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Et voici un entretien accordé au site "Arts Sombres" sur le sujet.

Ainsi que la Préface écrite par Marc Richelle

Et la suite, le "Walden 3" de Rubén Ardila, traduit par Raphaël Villatte

 


 


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